La grande majorité des peintures présentent des risques sanitaires pour l’organisme humain. C’est pourquoi, les artistes peintres et tagueurs utilisent des masques lorsqu’ils travaillent. Voici les différents types de masques que vous pouvez trouver sur le marché.
Les masques réutilisables
Il existe actuellement deux grandes catégories de masques sur le marché : les masques jetables et les masques réutilisables. Les masques réutilisables sont catégorisés en deux options : les masques isolants et les masques filtrants.
Les masques isolants permettent de s’isoler de la zone polluée par les émanations toxiques de la peinture. Ces masques sont constitués d’air et d’oxygène. Ils sont parfaits pour une peinture avec un contaminant non filtrable. Ce type de protection est donc privilégié dans un endroit où l’oxygène manque et les polluants foisonnent. Le choix de ce modèle de masque dépend de la nature ainsi que de la durée des travaux à effectuer.
Les masques filtrants sont, pour leur part, des équipements composés de filtre permettant de retenir les gaz ou les poussières. Ce type de protection assure en parallèle l’épuration de l’air respiré par l’utilisateur du masque. Le choix du masque filtrant prend alors en considération les caractéristiques du filtre.
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Les autres variantes de masque de peinture
On distingue deux types de masques dans la catégorie des masques filtrants pour peindre : masques sans assistance technique et masques à ventilation assistée. Le premier type de masques concerne les masques intégraux et les demi-masques. Dans cette situation, on fait référence à un équipement à pression négative. Le masque n’est pourvu que d’un seul filtre.
Si la personne est censée effectuer de grands efforts durant son travail, les masques filtrants ne sont pas conseillés. Le mieux est de choisir la protection à ventilation assistée. Elle est dotée d’un ventilateur motorisé qui optimise le débit de l’air respiré par le porteur. Ce type de protection recherche avant tout le confort de port tout en empêchant la pénétration des polluants grâce à un système de surpression.
Il existe aussi des masques autonomes qui possèdent des bouteilles d’oxygène et d’air comprimé. Ces éléments sont transportés à l’aide d’un tuyau vers le masque. On distingue aussi les masques non autonomes qui exploitent l’air de l’extérieur via un même tuyau vers le masque.
Le choix du bon masque dépend donc de plusieurs critères dont le taux d’oxygène, le type de contaminant ou encore le lieu de travail. L’embarras du choix est donc garanti mais encore faut-il connaitre les spécificités de chaque type de protection.
